samedi 22 mars 2014

La petite fille qui aimait la lumière de Cyril Massarotto




Quatrième de couverture :

Barricadé dans sa maison au cœur d une ville déserte, un vieil homme prend des risques fous pour recueillir une petite fille blessée. L enfant ne parle pas, elle ne prononce qu'un mot : Lumière, elle qui a si peur du noir. Alors le vieillard parle, il lui raconte la beauté de la vie d'avant, les petites joies du quotidien, son espoir qu on vienne les délivrer. Il lui enseigne la possibilité d un avenir, quand elle lui offre de savourer le présent. Cyril Massarotto explore la relation filiale qui se noue entre ces deux êtres que tout oppose.

Mon avis :

L'auteur ne nous donne aucune information, sur la nature du conflit qui règne, ni sur l'endroit où l'histoire se déroule. Tout ce que l'on sait, c'est qu'il y a les « autres » qui ont tout détruit, tués la majorité de la population.
Mon imagination me dit que cela aurait aussi bien pu se passer, en Europe centrale, lors de la guerre des Balkans. (là ce n'est que mon sentiment)
Un jour, le vieux monsieur entrevoit un petit corps, meurtri, allongé dans des détritus. Contre peur et mauvais souvenirs, il brave l'extérieur pour la recueillir et s'en occuper. 
Au fil des lignes, on découvre la naissance des sentiments de ces deux inconnus, qui s'occuperont, tout à tour, l'un de l'autre.
La relation est touchante, d'autant plus qu'à travers Lumière, notre Monsieur Papi revivra des drames de son passé, et il ouvrira son cœur meurtri.
La petite fille, aussi porte bien son nom « Lumière », car elle éclaire d'un nouveau jour la vie de ce vieux monsieur, qui a tant souffert.
Livre que j'ai bien aimé, mais sans plus, malgré la justesse de l'écriture, des sentiments. Il manquait juste un petit quelque chose pour l'emporter vraiment.


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